J’ai refais le RP, plus garnis un vrai roman d’âpres Ivy qui me conseille de le réduire un peu section profil dans le jeu… j’ai donc décidée de le réduire mais de mettre tout de même la version longue ici pour ne pas la perdre…
Voici la musique avec laquelle j'ai rédigée ce petit RP... vous pouvez l'écoutez tout en lisant, enjoy ^^
http://www.radioblogclub.com/open/92110//Full_Metal_Alchemist_-_Tsuisou_OST**********************************
« Et maintenant Carine, choisis ton familier judicieusement, il sera bien plus que ton ami, il représentera toute ton âme »
Je regardais avec malice le maitre druide et lui répondis simplement « je veux un papillon »
Le maitre druide me dévisagea sans réelle surprise. Il avait appris à connaitre cette petite fille douce, belle et fragile que j’ai toujours été … il m’avait appris l’art de la nature et savait pertinemment qu’aucun animal ne me correspondrai plus que le papillon…
Etant adolescente déjà, mes mains n’avaient pas la force de porter un simple bâton… les filles me traitaient de druidesse inutile, incapable de porté la moindre chose, les garçons tournaient autours de moi comme des chiens s’arrachant un morceau de viande.
Néanmoins, la main du vieillard, couturée de cicatrice, tremblait plus que le l’emprise de l’âge n’avait de pouvoir sur elle, et ses yeux cerné par la sagesse de sa longue vie trahissais une profonde crainte.
« Ne préfères tu pas un perroquet comme Twanie, ou bien un zèbre comme Garret ? Allons, le village n’acceptera jamais qu’une jeune druidesse décide de se lier a un simple papillon !! Tu sais que ces êtres trop éphémères et fragiles ne vivent jamais longtemps…ne préfères tu pas un tigre blanc comme ton père te l’a recommandé ? Ne crains tu pas de le décevoir lui qui est si fier ? J’ai pu voir lorsque tu étais jeune a quel point il avait été déçu d’avoir une fille et combien il aurait aimé que tu sois forte… Oh je sais a quel point tu n’es pas bavarde comme twanie et que tu ne possède pas l’endurance de Garret. Je sais aussi que Tu as héritée de la beauté des nymphes est seul un animal de poésie te correspondrais … ne voudrai tu pas un petit oiseau ? Ils vivent plus longtemps et sont capable de se déplacer à des distance considérable !»
- vieil homme, j’ai la même affection pour vous que pour mon père, mais si vous parlé de ma beauté comme des oiseaux qui volent et qui font la beauté du ciel, vous ne parlez pas de ma constante fragilité, dont seul les papillons, ces êtres sortant de leurs chrysalides, état de nymphe qui comme ma beauté, n’est qu’éphémère et fragile…
Le vieillard se releva tremblant, comme pour annoncer à la foule ma décision puis, répliqua :
« Je pense, que ta décision est dangereuse petite fille... mais je comprends, moi aussi ma fille, je t’aime comme un vieille homme aime son enfant. Acceptera tu qu’un homme tente d’insister auprès de toi quelque instant ? »
Apres une discussion au pied d’Yggdrasil, l’arbre sacré du village, le maitre druide se leva face à la foule et cria d’une voie tremblante :
« Mes chers confrères, mes chères consœurs, pour ses 18 ans, j’ai l’honneur et la grâce de vous annoncer que Carine a choisit son familier !!! Je lui présenterai des ce soir l’animal avec qui elle se liera !!! C’est un beau tigre blanc, signe de force et fierté à l’instar de son père !!! »
La foule hurla en délire alors que la fête commença… j’étais à présent considéré comme tel, une druidesse, dont le familier serai annonciateur de guerre et de pouvoir…
Mais cette considération ne dura pas, lorsque la rumeur circula sur l’infestation d’une nouvelle maladie appelé lycanthropie, tout les druides se mirent à rechercher les trace des lycanthropes… les lycanthropes, ces victimes humaine qui se transformaient en loup pour semer la terreur, personne ne compris pourquoi ils agissaient ainsi…
Malgré la force et la puissance de mon familier, ma magie n’avaient aucune utilité… et les gens ne comprirent pourquoi celui-ci ne m’obéissait pas… une druidesse inutile, voila tout ce que j’étais… incapable de sauver le village en proie a la pandémie…
Bientôt, les citadins n’acceptèrent plus l’autorité du maitre druide, et l’accusèrent de n’avoir convenablement instruit la druidesse que j’étais … puis, les reproches vinrent directement à moi…
Un soir alors que je rentrais, mon père furieux me gifla le visage en me hurlant dessus… sa colère, reflété par ces yeux d’un noir impitoyable et ces rides longue et tortueuse, se déchaina en menace et en reproche sur tout mon être au point de me transformer a jamais…
« Ce que tu fais a la place de ton travail druidique m’indifférerai facilement si je n’étais pas ton père catin, tu n’es pas une druidesse, tu n’es qu’une vulgaire trainé. »
J’avais toujours eu un père dont le regard et les paroles étaient fier et dure, mais jamais jusqu'à présent il ne m’avait frappé… ce soir la pourtant, pour la première fois, il brutalisa ce corps fragile qui était mien, et m’envoya choir sur le sol , tremblante et en larme. Lentement, il releva mon visage et me dit :
« Je ne vois aucune symbiose avec ton tigre, et lorsque je te frappe il ne ressent rien … et ce ainsi que tu traites ton familier ? Avec un tel mépris que celui-ci lui-même, ne ressent plus tes pensées ? »
Ce furent les derniers mots sensés qu’il me dit avant de m’amener devant l’estrade du village…
La lune avait prise un reflet jaunâtre et semblait avoir doublé de volume, le vent déchirais les arbres et transformait leur silhouette jusqu'à la rendre agressive et morbide…
Il appela les villageois pour les inciter à ce présenté devant l’assemblé…
Lorsqu’ils furent réunit, Ils m'amenèrent devant la grande croix pour me bruler, ils me traitèrent de tueuse lycanthrope et de démone tentatrice...
j'ai trouvé ces dernières insultes très amusante car je n'avais jamais tuez personne, mais mon talent de druidesse inexploité et mon visage attirant n'aida pas à convaincre les habitant de mon innocence...
c'est au moment de voir mon père allumer la torche que je me suis mise a gémir et a pleurer...
Devant le futur bucher, mon père ce mit à entonner son annonce
"devant la cours des villageois de lightrisen, je condamne ma fille Carine a une purification eternel pour le salut de son âme... cette pécheresse a bafoué l’art druidique et a invité le mal en ces lieu sous la forme de loup, qu’elle souffre et succombe a jamais !! »
-NOONNN je suis innocente, je n'ai jamais tué personne!!!
-cette pécheresse a charmé mon marie pour qu'il partage sa couche avec elle!!!" s'éleva un cri de femme
une autre répliqua
-c'est elle qui charmé mon fils et l’a enlevé pour qu’il devienne lycanthrope !!!
Et la foule se mit à crier en cœur
- a mort ! A mort!! A mort!!
"Les trainées comme toi ne sont jamais innocente!!! Tu as un familier qui ne te répond même plus, comment peux tu prétendre a l’innocence, j’ai honte d’être ton père."
Mon père mis feu a la l’estrade, m'amenant droit au trépas en hurlant
« Père, vous qui souhaitez la vérité, vous, druide de puissance et de vanité, voici mon familier, le voici, près a mourir avec moi, ce n’est pas un tigre père, l’ancien vous l’a caché, c’est un simple papillon, oui, je vous l’ai toujours caché car je savais pertinemment quel point vouent seriez blessé… »
Au moment ou mon corps effleura les flammes, le papillon arriva et se posa sur ma joue et mon corps entier fut recouvert de fils de soie jusqu'à en disparaitre aux yeux des villageois.
Puis, les fils s’écartèrent et me laissèrent sortir, libre …
Mon cœur s’était arrêté, ma peau avait blanchi, mes dents, me faisaient mal…
pour la première fois, la peur s’empara de mon esprit tel une folie alors que je couru pour m’echaper.les garde arrivèrent avant que je ne pu tenter quoique ce soit...
me forçant malgré ma soif a rester dans les bois, loin du village, je courue inlassablement pour m'éloigner de tout être humain, avant de me retrouver devant un jardin abandonné...
je me demandais alors si c'était le destin qui m'avais amené a cette endroit paisible, non... je ne crois pas au destin... c'est nous qui décidons de notre avenir... mais l'avenir a t'il un projet derrière la tète?
Jusqu’a présent, j'ai toujours pensé que ma volonté de survivre était inouï malgré moi... sinon, comment aurais je pu me déchainer au point d'échapper a cette croix ? La religion avait tué des centaines d'être... les croisades dévastait des villes entière, les prêtres purifiaient de mort l'hérésie et tout être qui en était, même malgré eux... les personnes spéciales ont toujours été détestées de l’homme. mais l’homme ne m'avais pas détruit...
il faut dire que cette fin de nuit fut une révélation pour moi, alors que je sentais déjà les première lueur du soleil me bruler la peau, mes jambes, ne cessais de courir en direction de ce jardin... a l'intérieur de celui ci des milliers de papillon virevoltai de part et d'autre de la végétation luxuriante...
une bête... je ne suis qu'une bête... c'était sans doute ce que j'essayais de me faire croire alors que mon être continuais a fuir tout signe de civilisation... mon instinct m'avais déjà dicté depuis longtemps l'approche de l'aube comme si le soleil était un danger pour moi ; il me poussait aussi a me nourrir de sang, comme si ma survis en était nécessaire... mais ma peur m'avais jusqu'a présent empêché de m'arrêter... fuyant mes poursuivant comme un proie fuirai son prédateur...
mais ma peur céda a la douleur dans ce jardin même... alors que les premier rayons de soleil perçurent l'horizon...
agonisante, je resta allongé a regarder les papillons qui s’élançaient dans le jardin, tel le vent emportant les feuilles d’un beau jour d’automne... était ce l’instinct? Le délire ou simplement la folie qui s'était emparé de moi? Qu’était je devenue depuis cette chrysalide Ce qui est sur c'est que aujourd'hui encore je ne sais pourquoi je me suis mise a parlé a ces papillons comme si ils étaient mon familier...
"ainsi ... je meurt a vos coté êtres de poésie... j'aurai tellement aimé vivre de manière éphémère comme vous... garder cette vie qui m'était précieuse... jouir, jouir de vivre comme vous vous délecter du parfum musqué des fleurs... mais je vais périr ici... a vos coté, ce n'est pas plus mal... de toute façon, c'est ainsi et cela le restera... l'homme... l'homme a peur de ce qu'il ne connais pas...je ne sais ce que je suis devenue mais, il me semble que le soleil n'aime que ce qui n'est éphémère, ou peut être pas...et vous? Créatures de beauté, m'aimez vous? Moi je vous aime... j'aurais aimé avoir été cette fleur dont vous vous seriez délecté... j'aurais aimé être aimé...j'aurai voulu vivre la vie..."
c'est a ce moment la que l'impensable se produisit... les papillons recouvrirent mon corps comme pour me protéger du soleil, laissant leur cocon de soie recouvrir et protéger ma peau... se reposant, aile déployé, sur mon Corps ...un manteau de papillon voila totalement mon corps de la lumière...
des papillons de nuit !!! Je restai muette d'étonnement face à cette observation...
n'osant bouger, je restais subjugué par ce voile naturelle d'amour...
Lentement mes yeux se fermèrent, et le sommeil de la nouvelle journée s'empara de moi...