chambre de Proxima

"Tu es sure ? Bien, dans ce cas je vais te laisser, à plus tard !
Je demanderais à Zurgy de venir t'expliquer, repose toi en attendant."

Kuryan se dirigea vers la porte, puis sortit de la chambre, refermant doucement la porte derrière lui. Puis, il alla vers les escaliers, et les descendit.

<Direction : grand salon>

Zurgy était complètement ailleurs c'est temps si, et sans faire attention il avait fait de la peine a la personne qu'il aimait le plus : Proxima...
Il arriva devant sa porte, il ne savait pas trop comment amorcé la conversation, alors il demanda :

" Proxima, c'est moi, Zurgy... "

Il bafouilla puis continua :

"Je peux entrer?"


Il poursuivit :

" Je sais que j'aurais dut t'en parler plus tôt, mais je reconnais que j'ai manqué de courage... "

*Proxima soupira, puis elle ouvra la porte. Elle regarda son époux,
et se laissa tomber dans ses bras*

Tu aurais dut me le dire plus tôt...

*Puis elle enfuis son visage dans les bras de Zurgy*

Il embrassa sa femme longuement, c'est à ce moment qu'il réalisa à u'elle point elle avait sut changer depuis leur mariage... Il glissa ses mains sous les cheveux de sa femme et lui souffla à l'oreille :

" Je ne savais pas si tu étais prête... Avec tous ce qui est arrivée... "

Il avala sa salive et lui dit :

" Assied toi sur ton lit, je préfère rester debout. "

Alors il lui demanda :

" J'aimerais que tu viennes avec moi... Je ne sais pas si je vais trouver quoique ce soit, mais tu sais que j'aime épanouir mon savoir, c'est pourquoi j'aimerais aller en Egypte... Je pense que notre origine se trouve là bas... Et je ne voudrais pas faire ce voyage sans toi."

*Proxima se senti tout à coup folle de joie, mais elle évita de trop le montrer.
Elle prit les mains de Zurgy et lui fit un grand sourir*

Et moi je ne peux me passer de toi ! Ce serait avec joie de venir avec toi.
Et Kuryan gardera nos monstres.

*Elle se leva et embrassa son époux*

Zurgy était content ! Il embrassa fougueusement sa femme, ce jour serait à marquer dans un journal, enfin...

" Oui, je suis sur qu'il sera se débrouiller... "

Il sourit puis repris un air grave et dit :

" Je ne sais pas encore quand nous partirons, sans doute bientôt, mais pour le moment le clan est affaibli par la disparition de Pillar et il se doit que je reste là... "

Il s'arrêta et ajouta :

" Il y a aussi cette jeune fille, Trystella, je crois qu'elle a besoin de notre aide, à tous... "

Il sourit finalement et allongea sa femme sur le lit, l'embrassa et lui chuchota :

" Heureusement tu es là et m'aide à garder la tête sur les épaules... "

*Proxima ceuillit le visage de Zurgy entre ses mains et lui murmura*

Et toi tu es bien le seul à me faire oublier mes peinnes.

*Elle embrassa son époux, elle le regarda longuement, elle passa
ses mains sous la chemise de Zurgy.*

Zurgy les seul moment où tu perd la tête c'est quand on est ensemble.

*Puis elle embrassa à nouveau son tendre, tout en lui déboutonnant la chemise*

( Et voila, sa recommence... )

Apres un moment long en carresse et embrassade, Zurgy et sa femme se coucherent pour dormir toutes la journée.
A la tombée de la nuit, Zurgy se reveilla, il s'habilla. Il se pencha sur sa femme qui commencait a se reveiller et lui dit :

" Une longue nuit nous attend, profitont en! "

Il lui tendit la main pour l'aidé a se relevé. Il lui tendit des habits neuf qu'il avait fait acheté.

" Tiens, c'est pour toi... "

Il s'agissait d'une longue robe noire avec des reflets rouges... Il l'avait choisit lors d'une excursion nocturne et avait demander a Paul de l'achetée...
Apres lui avoir offert son cadeau, Zurgy s'excusa au près de sa femme et lui dit :

" J'aimerais bien feuilleté les livres de la biblioteque a propos de notre futur voyage... "

Il embrassa sa femme et quitta la pièce...

< Direction : la biblioteque >

Zurgy rentra doucement dans la chambre, Proxima c'était rendomie, le paquet sur le lit. Il s'approcha doucement et ce décida d'attendre jusqu'a son reveil, alors il s'assit sur une chaise et la regarda...

* Qu'elle est belle... *

Il se perdit dans ses pensée, il repenssait a la vie avant la formation du Clan et à leur futur voyage en Egypte...

(Désoler d'être partis, mais bon a midi je savait pas trop quoi faire, alors je me suis dit, si j'allait embêter Kuryan... Encore désoler surtout que c'est mit de pas le faire dans les regles XD )

*Proxima ouvrit un oeil et vit son époux, elle sétira, et le regarda avant
de le sortir de ca torpeur*

Bonsoir bon tendre, tu es ici depuis longtemps ? Tu pouvais me réveiller !

*Elle se mit en face de lui, le drap la recouvrait, elle fit un grand sourir*

Merci mon amour pour la robe elle est magnifique.

*Elle l'embrassa et lui demanda*

Mais c'est en quel honeur ?

" L’occasion…et bien… euh… notre futur départ ! "

Il lui sourit et l’embrassa :

" Peut-être devrions nous dire à nos enfants que nous partons bientôt "

Il l’aida à se lever :

" Je suis sur que cette robe te seras ravissante…"

Il la regarda droit dans les yeux, elle était sublime…

*Proxima se leva et enfilla la robe, elle attacha ses cheveux.
Elle prit la main de Zurgy*

Bien avant de leur dire la nouvelle il va falloir les trouver...

*Proxima regarda son tendre puis explosa de rire*

On en a du courrage si nous voulons les trouver !!!

*Puis elle se blottit dans les bras de Zurgy et elle murmura*

J'aime être avec toi... seule...

*Un long silence se fit entandre un petit instant avant que Proxima ne pousse
un soupir*

Zurgy sourit et embrassa sa femme, ses mains glissaient sur les hanche de Proxima, il lui chuchota :

" Moi aussi, j'aime être seul avec toi... "

Il la regarda droit dans les yeux, elle s'emblait comme mélancolique... Il l'embrassa puis lui dit :

" Ce voyage nous feras office de voyage de noce... "

Il rigola, c'était très improbable... Ce voyage pouvait très bien être mouvementé...

Il baisa la main de sa femme puis lui demanda en blaguant :

" Madame est-elle prête à aidé son pauvre mari a chercher les enfants, ou alors désire-t-elle encore un peu de réconfort? "

*Proxima lui fit un grand sourir*

Voyons Zurgy tu en pose de bien drôle de question tout à coup !

*Elle l'embrassa son époux*

Allons les chercher !

*Proxima réflchi un instant*

Mais par où allons nous commencer ?!

Zurgy sourit, et lui répondit :

" Ils sont peut-être bien dans le petit salon ou dans le jardin... "

Zurgy se concentra pour chercher ses enfants, il sentait la présence des autres vampires, des humains... Puis enfin il les trouva, Les filles étaient dans le grand salon et Corynthe était dans le jardin, il avait invité une jeune fille...

" Elles sont dans le grand salon, Corynthe lui est dans le... Jardin! "

Il chercha à prévenir Corynthe qu'ils allaient le chercher, en effet il se demandait comment réagirait Proxima si elle voyait son fils en train de boire le sang d'une petite fille...
Il prit sa femme par le bras et l'entraîna dans le salon.


< Direction : grand salon >

" Proxima est vraiment gentille, " murmura Lycorne en entrant.

Elle se coucha sur le lit et soupira d'aise. Cela faisait tellement longtemps qu'elle n'avait pas été aussi bien. Lycorne se reposa et profita du confort pour reprendre des forces. Épuisée, elle s'encormit en posant sa tête sur l'oreiller.

Quand elle se réveilla, elle s'assit et un loup entra dans la pièce.

Bonjour mon loup-loup ! Tu m' apportes a manger ? C' est très gentil mon ami...

Elle mangea ce qu'il lui avait apporté puis pris son sac. Elle porta Yarzul et le mit dans une couverture pour qu'il reste au chaud.

Elle l'emmena et tous deux se dirigèrent vers la bibliothèque.
Le loup retourna dans la forêt.

<Direction : Bibliothèque>

Sombrecoeur entra dans la vaste chambre, le sang de Solweg dégoulinant de sa bouche. Il avait les yeux exorbités et un sourire carnassier au lèvres. Soutenus par Proxima, il arriv au centre de la pièce.
Puis soudain, il projeta sa soeur contre le mur et se transforma déchaîné, il passa par la fen)être, insensible au verre qui l'entailait, et atterrit sur ses pattes dans une pluie cristalline. Il poussa un hurlement bestial qui retentit dans tout le manoir. Puis, il se dirigea vers la forêt.

<<extérieur>>

*Proxima se releva tant bien que mal, elle regarda au tour d'elle,
et ne trouva pas son frère.
Le vent s'engouffra dans la pièce, elle se dirigea vers le fenêtre.
La nuit était étrangement lourde, elle regarda la porte puis se tourna vers la
fenêtre*

Je n'ai pas réellement le temps de chercher les autres...

*Elle enjamba la fenêtre et se laissa tomber*

<zone jardin>

Proxima entra dans sa chambre et ferma la porte à double tours.
Elle posa son dos contre la porte et soupira.
Depuis qu'Ivy lui avait confirmée ses doutes, Proxima avait le coeur déchiré.
La petite poupée dans ses bras, la vampire s'avanca dans la pièce et regarda de part et d'autre,
mais elle ne vit rien qui pouvait la faire penser à autre chose.
Son regarde se posa sur la fenêtre, elle s'en approcha et posa sa main sur
le vitrage qui était d'un froideur extrème.
Le halo que formait la respiration de la vampire vennait et partait, la vampire
se défit bien vite de se passe temps et prit place à la petite table où se trouvait
un petit livret, une plume et un pot d'encre.
Proxima les contempla et posa la poupée sur la table, elle la repositionna et prit
la plume en main elle ouvrit le livret et trempa le bout de la plume dans l'encre
noire. Elle laissa la plume glisser sur le papier.

"Ici je resterais cloîtrée,
ici je garderais le souvenir de ma chaire,
une tristesse amer
une peinne que l'on ne peut comprendre"

Elle reprit la poupée dans ses bras et inspira, elle se dirigea vers la porte
et y poussa une commode.
Elle ferma les yeux et alla se coucher sur son lit la petite poupée dans ses
bras, les larmes lui coulaient sur les joues.
Son soufle devenait de plus en plus lent pour s'ettoufer dans un dernier soupir.
Ainsi furent les dernier instant de la mère du clan.

[on ne touche pas au post]
La porte s'ouvrit et Zurgy apparus dans la pièce.

" Proximmaaaaa !!! "

Il s'effondra près du corps sans vie de sa femme. Des larmes coulaient sur ses joues. Il plaça ses mains sur le cœur de sa femme. Il enfonça son visage dans les cheveux de sa femme, y puisant son parfum. Zurgy avait du mal à se retenir de crier. Il aurait voulut mourir mais il ne pouvait pas ce le permettre. Il avait encore deux filles et tout un clan sous sa responsabilité...

" Pourquoi m'as-tu abandonnée... Pourquoi? "

Ses questions n'obtenaient pas de réponse, les morts ne parlaient pas. Une flamme de haine traversa le regard du chef des vampires. Il n'avait qu'une envie : tué. Tué les lycanthropes qui envahissaient son manoir. Il fit glisser sa main sur le corps froid de sa femme et se releva. il était temps de retourné au combat...
Soudainement, un bruit de verre brisé lui fit quitter sa torpeur. Il releva la tête et se tourna vers la vitre. Il y aperçut une main velue. Les lycanthropes escaladaient le manoir. Zurgy brandit sa hache et trancha les mains de l'abomination. Il y eut un hurlement suivit d'un bruit sourd. Le combat recommence...
Zurgy se retourna et se dirigea lentement vers la porte. Un lycanthrope venait de le rejoindre. Un sourire haineux se dessina sur le visage de Zurgy :

" Tu vas mourir sale bête... "

Le lycanthrope fonça vers le chef des BloodLords. Zurgy fit un pas de coté pour évité l'attaque. Mais le lycanthrope revint à la charge et entailla profondément, d'un coup de griffe la peau du vampire.

" Tu n'aurais jamais dut faire sa... "

Zurgy effectua une succession de passe que le lycanthrope évité avec agilité. Seulement Zurgy, en dernier coup lança sa hache qui, rentra directement en contacte avec le bassin de l’animal. Le lycanthrope bougea les lèvres, mais seul un gargouillement en sortit. Le sang dégoulina sur le planché de la chambre...

[on ne touche pas au post]

[on ne touche pas au post]
Zurgy fit craquer ses vertèbres et s'avança lentement vers le corps sans vie. Il retira sa hache du corps sans vie du lycanthrope. Il essuya, avec un mouchoir qui se trouvait dans sa poche, le sang qui était sur la lame de sa hache. Il sourit. Il n'y avait que le sang de ses ennemis qui lui permettait d'atteindre un maximum de plaisir.

* Venez là mes petits, venez goûter de ma hache... *

Comme s'il l'avait entendu un lycanthrope se présenta dans la chambre. Le vampire ne l'avait pas encore vu, mais son odorat développé lui permit d'apprendre la nature de son adversaire.

* On dirait que c'est mon jour de chance, Un lycanthrope Alpha... *

La bête marchait avec délicatesse sur le sol, en pensant pouvoir surprendre le maître du manoir. Soudainement il bondit en se propulsant avec ses pattes arrière. Le vampire fit un pas sur le coté pour éviter la créature qui l'attaquait dans le dos, mais ce ne fut pas suffisant. Il sentit le griffes lui rentré dans le ventre. Zurgy s'effondra par terre, ses réflexes n'étaient plus ce qu'ils étaient depuis la mort de sa femme...
Le lycanthrope se dressa, victorieux, sur ses pattes arrière et poussa un hurlement à vous glacé le sang. Mais c'est à ce moment que la voix rauque du Maître des Seigneurs du sang tonna :

" Le combat n'est pas encore finit! "

Le lycanthrope le regarda avec dédain, certain de pouvoir l'achever avec facilité. Mais Zurgy lui lança sa hache dans la jambe. La jambe de l'animal se brisa en même temps que l'arme du Vampire.

* Dommage, elle m'a rendu temps de services... *

Zurgy se releva et frappa le lycanthrope au visage d'un violent coup de poing.

" Tu aime sa salle bête... Hein?! "

La haine qui coulait dans les veines du vampire semblait prête à le consumer. Il considérait le lycanthrope comme le responsable de cette guerre et donc de la mort des êtres qui lui étaient les plus chères. Rapidement la lycanthrope poussa son dernier soupir et le vampire lui cracha au visage...
Ensuite Zurgy tomba par terre, laissant les larmes quittées ses yeux. Il les essuya d'un revers de sa manche et se ressaisit.

* Après tout, il y a encore une bataille à gagner... *

Il regarda sa femme qui gisait sur le lit et, avec difficulté, détourna le regard.

* Bon, il faut que je me retrouve une arme... *

S’il avait donné cette chambre à Proxima c'est qu'elle était remplie de passage secret. Il espérait que sa femme les aurait trouvés mais celle-ci n'avait jamais vraiment cherché... Zurgy frappa du pied une latte du plancher qui se brisa sous le choc. Il plongea sa main dans la fente et en ressortit un long objet brillant : une épée.

* Ca fait longtemps que je ne t'avais pas revu ma belle... Je pensais te donner à ma femme mais désormais tu tueras pour moi en son nom... *

L'épée scintillait. Sa lame semblait neuve alors qu'elle avait déjà fait coulé le sang de lycanthrope depuis bien longtemps. La garde de l'épée était composé de tige de cuivre entrelacé les unes sur les autres. Cette arme était dans la famille De Barzane depuis environ un siecle. Elle avait été conçut en Espagne, à Tolède, la capitale de la fabrication d'épée depuis toujours...
Zurgy la fit tournoyer et se jugea prêt à reprendre le combat. Il sauta par la fenêtre du manoir et atterrit devant le manoir. C'était là bas que la bataille faisait rage...

< Direction : Devant le Manoir >
[on ne touche pas au post]

RizAlice était encore dans le couloir, les mains posées contre la porte. Elle ne savait pas quoi faire la pousser et être une dernière seule avec sa maman ou repartir et avoir un poid sur le cœur, elle soupira et poussa la porte.

* Àprès tout c'est comme si elle dormait, mais elle ne va pas se rêveiller...*

La petite fille entra dans la chambre et ferma la porte. Les meubles étaient déplacés, et la pièce était étrangement silencieuse, RizAlice poussa une chaise vers le lit de sa maman et prit place et regarda Proxima.
Elle était blanche, plus que d'abitude, ses yeux ne clignaient pas, et ont voyait pas sa poitrine se gonfflé, RizAlice posa une main sur la joie de Proxima, mais ne senti rien d'autre que la peau froide. Elle retira tout aussi vite sa main, elle se leva de son promontoir et sauta sur le lit elle leva l'un des bras de Proxima et passa en dessous. La petite fille se sentait ainsi comme protégée, les larmes lui brulaient les yeux, mais ne pleura pas pour autant. Elle se mit à murmurer.

"Maman tu vas beaucoup me manquer... Mais serais forte ! Et quand je serais grande je serais comme toi ! Une jolie maman... Papa est triste tu sais même s'il ne le montre pas... et Ayliss, elle, ne montre aucuns setiments comme toujours. TU vas nous manquer."

Ses yeux se fermèrent petit à petit, au bout de quelques minute elle s'endormi.

La porte de la chambre s’ouvrit en grinçant. Le vieil homme courbé entra en soupirant. Il était suivit d'une femme d'une quarantaine d'année, brune et plutôt laide, c'était Annabelle. Elle tenait, avec difficulté, sous son bras, un cercueil noir. Paul jeta un regard sur Ayliss. La voix usées de l'homme stoppa le silence :

" Pardonnez moi mademoiselle, mais nous allons nous occuper de votre mère... Mais vous pouvez déjà nous devancez en allons de le petit salon pour poursuivre la veiller de la défunte..."

La façon de parler de Paul avait changé depuis qu'il avait remarqué que la fille du maître savait parler un autre langage que le sien. En effet il n'avait aucune idée de ce que c'était échangé les maîtres de la maison et ne voulait pas en ressentir des répercussions...

* Elle serait bien capable de raconter à son père ce qu'elle pense de moi devant lui sans même que je m'en rende compte... Qu'elle maison de fou, pauvre maître qui est le père d'une si piètre progéniture. *

Annabelle déposa le cercueil sur le lit. Paul prit les jambes du corps sans vie de Proxima et Annabelle les épaules. Ils déposèrent le corps délicat sur le satin pourpre. Paul lança un compte à rebours oral et les deux serviteurs, Paul et Annabelle, levèrent le cercueil. Se dirigeant avec difficultés les deux humains prirent al direction du couloir pour rejoindre le petit salon.

[Direction : Petit Salon ]

Ayliss les regarda entrer de sa morgue habituelle, puis charger le cadavre dans le cercueil, tout cela sans quitter sa chaise ni se défaire de son oeil critique et son air pincé...

Mais vous pouvez déjà nous devancez en allons de le petit salon pour poursuivre la veiller de la défunte..."

*Plutôt épouser un lycanthrope que d'obéir sagement à un faux ordre de ce vieux tas de tendons putréfiés... Enfin, j'irais évidemment, mais bien par convenance et par respect pour mon père et ma mère... En attendant, avant qu'ils préparent le petit salon, j'ai sûrement le temps d'aller fureter un peu dans les autres chambres... j'ai cru déceler en montant une odeur particulière ^o). je vais suivre mon instinct *

Elle ne répondit même pas au vieux domestique et, jetant un dernier regard vers sa génitrice, elle quitta silencieusement les lieux...

<direction : la serre>